LE TALMUD STEINSALTZ - EDITION DRAHI - TRAITE NAZIR

Talmud avec traduction assistée selon le Rav Adin Steinsaltz, traité Nazir, éditions Biblieurope

* Nouvelle édition ponctuée et vocalisée

* correspondance de chaque mot du Talmud en caractère gras 

* études et lois tirées de l'enseignement de l'auteur et autres

* illustrations couleurs

* 464 pages

59,00 €
TTC
Référence:
TSDRAHINAZ
Description

Curieusement, Nazir est inclus dans la section talmudique de Nachim – juste après Nedarim et avant Sota – bien qu’il n’y soit pas directement lié ; d’ailleurs, la Gue-mara s’interroge d’emblée à ce sujet. En fait, comme le passage biblique relatif au nazir (Nbres chap. 6) apparaît après celui de la femme soupçonnée d’adultère [sota] (ibid. chap. 5), dans la Michna aussi, le traité Nazir a été placé à côté de celui de Sota.

Comme son nom l’indique, il traite essentiellement des lois relatives au nazir, mais aussi des vœux en général, des sacrifices ainsi que des règles de pureté et d’impureté.

Faire vœu de naziréat engage l’intéressé à respecter un certain nombre de règles fixées par la Tora. Comme pour les autres vœux, celui-ci peut être motivé par différentes raisons, comme obtenir le pardon d’une faute, exprimer sa gratitude envers Dieu pour Sa bonté, mériter une faveur divine, ou encore comme exutoire à la colère ou à une contrariété. Lorsque les motivations sont louables, le naziréat est considéré comme un moyen d’atteindre un niveau élevé de sainteté, comme il est dit dans la Tora : « Tous les jours de son naziréat il sera saint pour l’Eternel » (ibid. 6,8).

Le terme de nazir fait référence à quelqu’un qui s’abstient [mitnazer] de certaines choses. Il fait aussi allusion à la longue chevelure du nazir, comparable à une cou-ronne [nézer] (ibid. 6,7). Bien que la Tora n’interdise pas à tout homme de devenir impur ou de boire du vin, s’en abstenir permet d’accéder à un niveau plus élevé de sainteté. On peut le déduire de la défense d’entrer dans la cour du Temple après avoir bu du vin, ou en état d’impureté, ou encore de l’interdiction pour les Cohanim de se rendre impurs au contact d’un mort en raison de leur sainteté intrinsèque. S’engager à respecter ces interdits revient à acquérir pour un temps un statut équivalent à celui du Cohen (voir michna en 47a).

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